TOURISME

« Nuit de l’entrepreneur touristique » : 65 entreprises touristiques sont en lice pour la 2e édition

Le 16 octobre 2020, se tiendra la deuxième édition de la Nuit de l’entrepreneur touristique. En marge de cet évènement, le ministère de la Culture des Arts et du Tourisme a animé un point de presse ce mardi 6 octobre. Cette rencontre a consisté à partager les informations sur l’édition 2020 qui se tiendra dans la salle des fêtes de Ouaga 2000.

Sur les 165 candidatures au départ, seulement 65 entreprises touristiques ont été sélectionnées pour prendre part à la compétition. Elles sont reparties dans les catégories suivantes : 21 guides de tourisme, 19 établissements touristiques d’hébergements, 15 établissements de restauration, 10 agences de voyages et de tourisme. Le comité d’organisation s’est fondé sur des critères pour aboutir à cette sélection. Il s’agit de la vision de l’entreprise, le rendement financier, la gestion axée sur les principes de développement durable, la responsabilité sociétale, l’innovation, l’excellence et la créativité. En dehors des principaux prix, il faut noter que des innovations seront à l’honneur de cette deuxième édition, notamment le prix de l’hôtel vert et celui du plus jeune entrepreneur d’une entreprise touristique.

Selon l’Organisation Mondiale du Tourisme (OMT), le tourisme représentait en 2009, 10% du PIB mondial, un emploi sur 10 dans le monde et 1700 milliards de dollars. Au regard de ces chiffres assez importants, de nombreux pays mettent du sien pour développer ce secteur. C’est ainsi que le Burkina Faso a initié des méthodes pour attirer le maximum de touristes sur son territoire.

Placée sous le thème :« Jeunesse et entrepreneuriat touristique », cette édition entend inciter les jeunes à opter pour le domaine touristique. Elle est placée sous le patronage du ministre en charge de la culture Abdoul Karim Sango. A en croire les conférenciers, plusieurs activités sont inscrites au programme à savoir, des prestations d’artistes, un défilé de mode dans le but de valoriser le tissu local, le « koko donda » et le « Faso Danfani ».

Evans KAMBOU

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